Hellou la compagnie ! Avant de commencer à lire la fabuleuse histoire d'Alphaïce (xD), je voulais juste préciser le fait que je l'ai écrite avec sa manière de parler... Donc, la ponctuation est mal placée, et certaines phrases ne sont pas nécessairement grammaticalement correctes, c'est normal ! lol Ah, et je voulais ajouter qu'Alpha est un perso "de passage", c'est-à-dire que je l'aime beaucoup mais que j'aimerais le faire intervenir sur le fofo en tant que "méchant" ou quoi, pour faire bouger le forum et aussi pour avoir un opposant... il peut donc mourir et tout ce que vous voulez, héhéhé ^^ Sur ce, bonne lecture x3
Nom : Zadora
Prénom : Alphaïce
Âge : 15 ans
École : Wolroof
Rang : Élève
Race de l’élève : Charmeur
Histoire (min.5 lignes) :Alphaïce Zadora, 15 ans. Charmeur. Et schizophrène. Mon histoire, commence mal, dès le tout début du récit. Rien que ma naissance fut déjà une erreur, un fait qui jamais n’aurait dû se produire, je suis né, malade…… mental, malade mental. Maintenant que j’y pense, j’aurais préféré ne pas naître du tout… Ne pas vivre cet enfer, cet enfer qui est en réalité ma vie toute entière, que je n’ai jamais choisi de vivre. J’en… veux à mes parents. Tout, est de leur faute, entièrement. Maudits soient-ils. Je les déteste. Oui. Je les DÉTESTE ! Pourquoi ? Tu me demandes, pourquoi ??? A… arrête ! Je dois me calmer… laisse-moi d’abord me calmer… Après, je parlerai… Je te raconterai tout ce que je sais… Mais, s’il-te-plait, ne m’interromps pas. Je suis déjà assez troublé comme ça.
Voici mon histoire.
C’était une nuit noire. Lugubre, une femme hurlait. Les cris atrocement déchirants, venaient d’une petite maison entourée de bien d’autres semblables, au beau milieu d’un petit village sur une colline. Petit village assez mignon, pittoresque, sur lequel le soleil brillait toujours, apportant à ses habitants une sensation de paix et d’apaisement chaque jours de leur piètre et insignifiante vie… Les habitations étaient charmantes, joliment décorées de fleurs et d’autres attributs colorés, et semblaient presque ne jamais devoir connaître de drames tant elles étaient paisibles. Alors, comment pouvait-il faire si sombre, comment l’air pouvait-il être si lugubre en cette nuit noire ? Comment les cris de cette pauvre femme, pouvaient-ils être si déchirants ? C’est dégoûtant. Tout cela ne devait présager rien de bon, vraiment… Et il fallut, c’était une évidence, que je naisse au beau milieu de cette nuit noire…
Rapidement, les cris de la femme cessèrent, afin de laisser place à un autre bruit affreusement déchirant ; les pleurs d’un nouveau-né. C’était moi, le petit être remarquablement laid qui hurlait ainsi à en réveiller tout le voisinage. Pourquoi fallait-il que je pleure ainsi ? Non, ne me dites pas que tous les bébés pleurent à leur naissance, je ne vous croirai pas. Je suis sûr, si je pleurais cette nuit-là, c’est uniquement parce que je voulais montrer à ma mère à quel point je lui en voulais d’être venu au monde. Je venais de naître, et je détestais déjà ma mère. Après tout, c’est entièrement de sa faute, si je suis malade… Maudite…
Alphaïce, qu’ils m’appelèrent. Je venais à peine de venir au monde qu’ils m’octroyèrent d’un nom idiot et de cette maladie, cette damnée maladie qu’est la schizophrénie, qui vivrait ma vie toujours à mes côtés sans me laisser de répit, cette maladie qui jouait avec mon existence toute entière. Et, ces imbéciles, ils n’avaient pas remarqué, que j’étais malade. Pour eux, j’étais un petit garçon comme les autres, je n’étais pas un monstre. Mais je savais qu’ils allaient vite le découvrir, et qu’ils allaient vite me détester pour mon handicap… tout comme moi je les détestais déjà. Et je grandis… je n’étais pas encore assez…… évolué, que pour leur faire part de ma haine. Mais ils comprenaient que je n’allais pas bien. Il m’arrivait, assez fréquemment il est vrai, de m’enfermer dans ma chambre et de crier de me laisser seul, alors que j’étais seul, et que mes parents n’osaient pas venir de peur d’empirer mes crises. J’étais fou. Je le suis toujours, mais à même pas 10 ans, j’en étais déjà conscient. Parfois, seul dans mon lit, je voyais des ombres qui me parlaient, et qui essayaient de m’effrayer en me chantonnant qu’elles allaient tuer mes parents… Je m’en fichais. Et puis, elles étaient sympathiques, ces ombres, elles me tenaient compagnie. Alors que eux ils m’ignoraient de plus en plus. Je le savais, je vous l’avais dit non ? Qu’ils allaient vite me détester.
Un jour, ma mère est rentrée dans ma chambre… Je n’avais pas adressé la parole à quelqu’un d’autre qu’aux ombres de ma chambre depuis plusieurs jours, je pense, et quand elle est rentrée, j’ai cru qu’elle était là pour me faire du mal, alors je l’ai frappée… J’avais 13 ans, et elle, elle est partie en pleurant. Mon père est venu, et il a dit que ça ne pouvait pas continuer comme ça. Encore une fois, j’en étais sûr, il voulait me tuer. Alors je lui ai tout déballé. Mes sentiments, ma haine pour eux, tout, tout. Tout… Et mon père, vous savez ce qu’il a fait, mon crétin de père ?? Il m’a pris dans ses bras ! Ah ! Comme si cela allait arranger les choses ! Quel imbécile celui-là, il a dit qu’il voulait qu’on reprenne tout depuis le début, qu’il a dit, qu’on allait essayer de trouver une solution, qu’il a dit. Mais moi, moi je ne voulais pas de solutions ! Je voulais juste qu’on me laisse seul, qu’on me laisse parler avec des ombres qui n’existent pas, qu’on me laisse croire qu’un tueur en série est caché au fond de mon placard pour m’égorger, voilà ce que je voulais ! Ils ne comprenaient rien… Pour commencer, mon père m’a proposé de parler………. Sans commentaires. Mais je l’ai écouté quand même. Je n’avais rien de mieux à faire de toute façon, à part fixer ma mère pendant que mon père parlait, ma mère qui me fixait aussi et qui laissait continuer mon père parler, elle ne l’écoutait même pas alors que moi je prenais la peine de l’écouter, cette chienne… Mon père parla de sa nature, qu’il était un monstre qui charmait les gens avec sa musique, et que ma mère ne valait pas mieux en tant que Sorcière, et que moi j’étais probablement un montre aussi… Là, j’ai essayé de garder mon calme. Il le faisait vraiment exprès, depuis le début que je me tue à dire que je suis un monstre !! Enfin. Après, il m’a reproché d’être trop froid avec ma mère. C’en était trop. J’ai sortit un couteau, que je gardais toujours sur moi contre le tueur en série, et je les ai menacé, s’ils ne quittaient pas ma chambre tout de suite… Alphaïce Zadora, 13 ans… Enfant à problèmes. Et schizophrène.
Je me suis enfermé dans ma chambre pendant plusieurs jours. À clé. Et la clé, je l’avais glissée sous la porte, de l’autre côté, pour ne pas me tenter. Parfois, j’étais pris d’un accès de folie, et je tambourinais sur cette pauvre porte en criant de me laisser sortir. Parfois, j’étais bien content d’être là, et je parlais avec les ombres. D’autres fois encore, j’entendais ma mère pleurer de l’autre côté de la porte. Mon père, je l’entendais aussi, il disait que ce n’était pas de sa faute, et d’autres trucs encore que je n’ai pas pris la peine de retenir. Puis, un jour, je ne les ai pas entendu pendant une journée entière. Quels imbéciles, comment ne pas deviner qu’ils préparaient quelque chose, qu’ils me cachaient quelque chose ? Et là, un soir, la porte s’ouvrit… Mes parents entrèrent, tous les deux, ma mère avait pleuré. Et mon père, lui, tenait simplement un pistolet à la main… Inutile de préciser qu’il était pointé vers moi. Ils voulaient me tuer. Me reprendre la vie qu’ils m’avaient donnée et dont je n’avais jamais voulu, cette vie pour laquelle je les détestais. Et quand je vis cette arme pointée vers moi, je n’eus qu’une réaction. Sauter sur l’homme qui m’avait permis de venir au monde. Couteau à la main. Lui devait avoir hésité, car il ne tira pas, après il n’aurait pas pu de toute façon. À la place, il criait, il criait que ce qu'il faisait était pour mon bien, que comme ça personne ne souffrira davantage ! Je l’ai tué ? Héhéhé, eh bien non, je me suis contenté de lui enfoncer mon couteau dans le bras, puis je me suis enfouis. Quel lâche, quel gâchis, j’aurais enfin eu ma vengeance. Mais bizarrement, sur le moment, je n’éprouvais pas de haine envers eux, plutôt, de la compassion… Nous avions souffert tous les trois durant toutes ces années. Ils étaient à bout, et moi je pouvais enfin quitter cet endroit avec une bonne excuse. C’est presque content que je quittai ma maison mais, une fois éloigné du village, une rage indescriptible s’empara de moi… Une envie de meurtre, oui, je voulais absolument les faire payer pour avoir essayé de me tuer. Ils avaient essayé de me tuer, ils avaient OSÉ ! Il avait essayé de tuer son propre fils, pour son bien ? Quelle blague ! Je ne voulais pas revenir sur mes pas, mais j’étais tellement énervé que je commençai à m’attaquer à ce qui m’entourais… Pour finalement me mettre à courir comme un imbécile au milieu d’une forêt que je ne connaissais pas. Au moins, là, je ne retournerai plus pour les tuer, complètement perdu que j’étais. Car, cela peut vous surprendre, mais je ne suis ni un assassin, ni un sadique, je n’avais aucune raison de tuer d’autres personnes… Elles ne souffraient pas, elles, du moins, pas dans la tête. C’était moi qui les faisais souffrir. Et c’était bien fait pour eux.
Puis, eh bien, j’ai erré. 2 ans. J’ai causé de nombreux problèmes sur mon chemin, tout comme je le faisais, chez moi, et je m’enfuyais toujours plus loin. J’en ai appris plus sur le monde qui m’entoure en ces deux ans qu’en toutes les années qui avaient précédé mon départ. Par exemple, je suis un Charmeur, drôle non ? Ca pour une nouvelle ! Charmeur, comme mon cher père ! Ah, je le… qu’il aille au diable, tout simplement. Et qu’il ne m’emmerde plus avec ses belles paroles. Je me suis essayé à plusieurs instruments, pour voir, mais celui qui me convenait le plus était sans aucun doute l’harmonica… Petit, discret et si plaintif… J’aurais aimé être un harmonica, tiens. Ca n’a pas de soucis, un harmonica. Et puis, parfois, j’avais l’impression qu’il changeais de forme. Dès fois, il avait même un visage. Il est devenu mon meilleur ami, et il nous arrive aussi souvent de nous disputer. Mais bon, voilà, vous savez à peu près tout. Je suis rentré à Wolroof, j’vous ai pas dit ? Ils m’ont fait rentrer dans une école ! Ah ! J’ai dû avoir eu l’air normal à l’examen d’entrée, car ils ne savaient pas à quoi s’attendre ! Quels imbéciles ! Pourquoi faut-il que je côtoie des imbéciles toute ma vie, ma piètre vie ??!
Enfin, à Wolroof, j’essaye de pas me faire remarquer. Comme ça, on ne me prend pas la tête, avec ces histoires de maladie stupides. Alors je m’assieds par terre, en plein milieu du couloir… et je joue avec mon ami l’harmonica. Parfois, des gens viennent m’écouter, ou me parler. Moi, je n’écoute que ma musique, et je ne parle pas. Je ne parle que quand je suis seul, et là, c’est avec les ombres des couloirs.
Zadora, Alphaïce. Schizophrène joueur d’harmonica. Et élève de Wolroof.
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Caractère : Alphaïce, il est utile de préciser (U_U) est schizophrène ; il a donc une mentalité complètement torturée, limite de la folie, et pas toujours le même caractère... Il est en générale plutôt froid, hargneux, il ressent souvent une haine indescriptible envers les gens. Il est très solitaire, même s'il laisse les gens l'approcher. Il lui arrive d'avoir des excès de folie, lors desquels il se met à crier, à parfois même ressentir de fortes douleurs inexistantes ou à supplier de le laisser tranquille... Il ne parle pas vraiment de manière très "distinguée", ne se prive pas d'insulter ou de provoquer les gens quand il n'est pas d'humeur. Il pourrait provoquer quelqu'un jusqu'à la bagarre, cela ne le dérangerait pas vraiment de se défouler un peu... Enfin, il a parfois un peu des airs d'autiste, voit des hallucinations, parle avec des créatures qui n'existent pas. En gros, il est assez difficile de définir son caractère exact, étant donné qu'il change selon les moments.
Physique (min.3 lignes) : Alpha se donne parfois un peu des airs de racaille... peut être pour impressionner les gens, mais sans doute pour se faire fuir au maximum. Il a les cheveux courts et très légèrement ondulés derrière, plus longs et plus plats devant, de couleur crème. Il possède un ou deux piercing, dont un à la lèvre, et s'orne souvent d'une multitude de colliers, de bracelets ou encore de boucles d'oreilles. (Ce n'était pas prévu au début mais) il lui arrive parfois de fumer (juste pour l'avatar lol). Il s'habille en générale en gris ou en blanc, la couleur qui va le mieux avec ses cheveux clairs, et n'aime étrangement pas le noir. Il est plutôt grand pour son âge et on le confond facilement avec les élèves ayant atteint la majorité ou presque. Enfin, il a souvent un visage peu expressif, notamment quand il est assis dans les couloirs à jouer de son instrument, mais il peut aussi avoir un air renfrogné ou colérique selon ses humeurs.
Comment avez-vous connu le forum? Je sais plus, ça fait tellement longtemps que je suis là
Des commentaires ou des questions à propos du forum ? Je pense.... avoir tout compris... uhu ^.^
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